Le cas de Monsanto rejoint celui de l’industrie pharmaceutique (et de quelques autres). Rien à attendre de l’UE évidemment, et peu importent ses ’’procédures’’. Le problème se situe au niveau de la concurrence, de moins en moins libre et de plus en plus faussée, que la ploutocratie fait à la démocratie. Dans le rapport de force de notre société avec le gros capital, il s’agit d’imposer des nationalisations et du protectionnisme. On ne voit pas qui d’autre que les nations puisse disposer de la volonté et de la force nécessaires à cela. Aux peuples de savoir à quoi ils aspirent.