On ne peut répondre à ce problème en en avançant un autre. Les procès en islamophobie sont de vrais procès menés devant les tribunaux à des intellectuels par des organisations qui défendent un islam politique qui combat les libertés et droits individuels, pour imposer le délit de blasphème. Il faut répondre sur le fond au lieu de répondre à côté, en cherchant encore une fois à faire passer ceux qui utilisent l’accusation d’islamophobie pour des victimes.