Ce qu’il est bon de retenir, en dehors de toute considération scientifique, c’est déjà l’arnaque qui consiste à présenter ce vaccin comme un vaccin anti-cancer.
Il y a une vingtaine d’années, on nous a déjà présenté le vaccin anti-hépatite B en ces termes, alors que la proportion de cancers hépatiques authentiquement liés au virus est infime.
Dans le cas du papillomavirus (dont seules quelques souches sont ciblées par le Gardasil®... avec quelle efficacité ?), je pense que l’escroquerie est du même ordre.
Quant à l’innocuité à long terme, nous verrons...