Bonjour, Antoine
« Singularité du langage », en effet. Mais aussi une puissance et une force d’entraînement rarement atteintes auparavant et qui éclatent à un niveau inégalé dans plusieurs opus, et notamment dans le concerto « L’empereur ».
Pour ce qui est du « meilleur de Beethoven », c’est à chacun de se prononcer : les uns votent pour les symphonies, d’autres pour les concertos, ou bien encore, comme vous, la musique de chambre. Personnellement, ma préférence va vers les concertos, mais vous savez que j’ai toujours eu une attirance toute particulière pour ce genre.
Merci pour votre contribution.