@ troletbuse
Dans le cas de Fillon, le Canard a pu se procurer des documents et énoncer des faits qui ont démontré la tangibilité des problèmes de probité de ce personnage. Des infos suffisamment précises et fiables pour que leur publication ne puisse entraîner des poursuites.
Que le Canard soit subventionné pour ses frais postaux, c’est peanuts, et cela vaut pour toutes les publications de presse qui n’ont pas été interdites par la Justice. Il n’y a donc pas là matière à pression de la part des pouvoirs publics.
J’ai également entendu, et surtout lu, très souvent Angeli, et moi aussi je me suis parfois trouvé en désaccord avec lui. Qui plus est, Angeli n’est pas le Canard enchaîné à lui seul, le journal étant géré par un groupe d’associés parmi lesquels figurent, entre autres, Emptaz, Escaro et Gaillard.
Les « deux derniers tiers » ne sortent jamais ! Ce sont les informations pour lesquelles il n’a pas été possible de réunir des éléments irréfutables. Et concernant Macron, je suis prêt à parier qu’en cas de faits graves avérés, le Canard fera son boulot sans état d’âme de ses journalistes.
Enfin, on peut tout à la fois lire le Canard et Rivarol ! 