« On entre dans la troisième dimension, celle de l’apolitisme (…) » : vous propagez, vous aussi, cette fable du « ni de gauche, de ni droite » ? Faut-il rappeler que selon Henri de Castries, grand partisan de François Fillon, il n’y a pas de différence de fond entre le programme de Fillon et celui de Macron ? Donc, soyez précis : nous entrons dans la dimension de l’inculture politique, une inculture sciemment construite par l’épuration des opinions contraires dans les médias (Polony, Lancelin…) et par un candidat dissimulant ses idées (qui sont bien réelles et qui sont de droite).