L’objectif est donc de déconstruire la civilisation occidentale : c’est-à-dire anéantir le christianisme, la famille, la hiérarchie, le patriarcat, la nation, l’armée, la police, l’élite culturelle, le mérite scolaire, l’architecture, la peinture, la littérature.
Les modes de répression sont différents. Les nazis étaient des fascistes, qui INTERDISAIENT de penser, et employaient la force et la répression pour liquider l’opposition.
Pour les victimes du fascisme, l’ennemi était clairement désigné, des hommes en arme venaient inspecter les maisons, brûler des livres, et emmener hommes, femmes et enfants dans des camps.
Le socialo-marxisme utilise les méthodes beaucoup plus totalitaires, en manipulant et contrôlant la pensée des masses, par les média, les politiques, la culture, la soumission à la terreur intellectuelle du « politiquement correct ». Celui qui ne se conforme pas à ce mode de pensée, devient un paria, un raciste, un antisémite, un néo-nazi, un islamophobe, et est exclu du système social.
Parmi les idéologues socialo-marxistes, on peut citer Jean-Luc Mélenchon qui déteste les « blancs catholiques », ne supporte plus de vivre avec des « blonds aux yeux bleus », et méprise les habitants du pays de Caux en Normandie, qu’il traite d’« alcooliques épouvantables » !
Ou encore Benoît Hamon, un pro-islamiste, raciste anti-blanc (il n’aime pas la ville de Brest, parce qu’il y a trop de Blancs !) en lutte également contre l’identité française.
Benoît Hamon soutient officiellement l’ONG islamiste BarakaCity proche de l’organisation politique des Frères Musulmans, mouvement d’extrême-droite néo-nazi en France, dont le représentant Idriss Sihamedi, refuse de condamner Daech et de serrer la main des femmes.