Macron incarne la pente vers le néant politique, mis en scène par les deux génies qui l’ont précédé.
La pente vers le néant politique semblerait être une tendance planétaire qui n’a pas l’air d’épargner beaucoup de dirigeants de ce nouvel ordre mondial à peine né et déjà en état de décomposition avancée.
C’est bien, la ploutocratie corrompue et corruptrice se dilue dans les limbes du néant.
Je ne donne pas cher de l’avenir d’un Macron. Je ne lui souhaite pas le pire, peut-être fuir et disparaître tricard à Las Végas bien plus qu’à Saint Hélène, mieux que de finir comme les Ceausescu, ce qui me peinerait, pour lui, pour sa poupée rechapée, malgré le manque de sympathie que je peux avoir pour ces deux-là, et surtout pour notre pays déjà bien malade.