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Lugsama Lugsama 6 septembre 2017 16:42

@doctorix

Rafael Caldera un dictateur dans quel monde imaginaire ? Dans votre ignorance vous devez confondre avec le membre de l’International Socialiste Carlos Andrès Pérez qui s’est fait éjecté par la Justice, comme quoi la dictature était bien moins puissante que sous Maduro, ballot hein.


De plus vous êtes particulièrement malhonnète de plus dans vos citations découpés à votre avangtage :

 « Après avoir laissé passer la période de 10 ans, pendant laquelle la Constitution l’interdisait de se présenter à nouveau à la présidentielle, il est à nouveau candidat de COPEI à l’élection de 1983 (es), mais perd face au candidat de l’AD, Jaime Lusinchi. Battu aux primaires de 1987 par Eduardo Fernández (es), il quitte le COPEI et fonde Convergencia

Après les émeutes du Caracazo en février 1989, il déclare, le jour de la tentative de putsch militaire, à laquelle participe le futur président Hugo Chávez (4 février 1992), « il est difficile de demander au peuple de s’immoler pour la liberté et la démocratie, quand il pense que la liberté et la démocratie ne sont pas capable de lui donner à manger ».

Ces prises de position lui permettent d’être élu en 1993, soutenu par une majorité comportant des sociaux-démocrates, des communistes et d’autres représentants de gauche (Mouvement vers le Socialisme, ou MAS, Mouvement électoral du peuple). Teodoro Petkoff (en) (MAS) obtient le portefeuille des Finances, et Pompeyo Márquez (es) celui des Frontières ; d’autres ministères sont donnés à des indépendants.

Il amnistie les auteurs du putsch manqué de 1992 (Chavez..), lesquels fondent, en 1997, le Mouvement Cinquième République, vainqueur à l’élection présidentielle de 1998 (en). Malgré la crise bancaire de 1994, qui le pousse à présenter un programme économique contre l’inflation, l’Agenda Venezuela (es), le pays s’apaise, tandis que Rafael Caldera assure la démocratie et la recherche de consensus national.

Pour lutter contre la crise qui sévit, Caldera décide cependant de suspendre certaines garanties constitutionnelles, en particulier celles concernant la libre-entreprise, ce qui est, au vu de la situation, toléré par la communauté internationale, mais moins par les milieux d’affaires vénézuéliens. Décidant finalement d’appeler à l’aide le Fonds monétaire international (FMI), il dévalue le bolívar de 70 % et opère un tournant politique en mettant en place une politique de rigueur : il lève le contrôle des changes, privatise le secteur public et met en œuvre un programme de réduction du déficit budgétaire, organisant aussi une réforme des assurances sociales (chômage, etc.). Ces mesures provoquent le mécontentement populaire (manifestations, etc.), tandis qu’elles le contraignent de chercher l’appui de l’Action démocratique, les partis de gauche s’y opposant. Plusieurs figures de l’AD entrent ainsi au gouvernement. »Il n’était pas vraiment un ultra-libéral, pas plus qu’un dictateur..Et l’argument nauséabond selon lequel un dictateur en excuserai un autre.. désolé mais gardez ça pour les neuneus, je ne défend aucunes dictatures quelle que soit sa couleur politique.

@François Vesin non je n’ai pas récupéré la liste complète qui n’as pas été publié intégralement par ailleurs, mais la liste partiel est déjà suffisaement accablante pour le régime.. et je vous laisse allez vous renseigner sur l’idée de génie de l’ANC pour renforcer la dictature, après avoir muselé la tévision et la radio, bloquer l’accès aux sites d’information, ils veulent maintenant que le vilain peuple ne puisse plus donner de « fausses informations » sur les réseaux sociaux. A-t-on besoin de dévlopper après ça ?

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