@Ar zen
Vous posez le vrai problème.
Celui de l’action politique et du discours.
De Gaulle à son temps avait assez bien compris et exprimé ce qu’il en est.
Sur le constat : "« On le sait …qu’il y a des conceptions différentes au sujet d’une fédération européenne dans laquelle…les pays perdraient leur nationalité nationale et au faute d’un fédérateur…la fédération européenne serait régie par un aréopage technocratique, apatride et irresponsable. » pour les antis.
Et cela pour les pros : « Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’Europe ! l’Europe ! l’Europe !... mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien ».
Renvoyant dos à dos les deux camps à la réalité de l’action, au pragmatisme de l’action nécessaire, ...