Nietzsche a recyclé Darwin et Dantec a recyclé Nietzsche en y incluant un élément nouveau ; ce n’est pas l’homme qui va se surpasser lui même mais la science qui va dépasser l’homme : biotechnologie, nanotechnologie, cybertechnologie, génie-génétique, etc, etc ... voilà le surhomme de demain tel que Nietzsche englué dans son époque n’aurait pas pu le voir. Houellebecq dans la possibilité d’un île fait un peu le même constat sauf que lui ne se réjouit pas de cette probable destruction hédoniste, puisque tel est le bonheur finalement, c’est d’être imparfait.