« ... ceux qui n’ont pour survivre que la vente de leur force de travail. »
Ca, c’était au XIXe siècle. Maintenant, c’est pour survivre + acheter une bagnole, aller en vacances sur la côte dalmate ou à Benidorm, payer le loyer d’un appartement ou les acomptes d’une PPE avec eau courante, chauffage et sanitaires dans l’appartement, plus toutes sortes de gadget plus ou moins utiles, comme machine à laver, à laver la vaisselle, frigo,congélateur, téléviseur, PC, etc., etc., etc.
Autant de choses inimaginables pour les propriétaires collectifs des moyens de production qui n’ont jamais tiré le moindre avantage du remplacement de la bourgeoisie par des fonctionnaires chargés d’établir des plans quinquennaux chimériques aux objectifs jamais atteint. Le prolo d’aujourd’hui, il connaît tout ça. et il est de plus en plus difficile de le berlurer avec des théories à la graisse de chevaux de bois.
Et un Macron, quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse, ne sera jamais assez odieux, pour modifier la perception de la calamiteuse image du collectivisme, par le corps électoral.