• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


Nicolas Cavaliere Nicolas Cavaliere 16 septembre 2017 15:42

@Massada
L’intérêt est justement dans les longueurs, comme chez Tarkovski ou les derniers Visconti. En général, les cinéastes âgés ont besoin de rester encore un peu , alors ils étirent les scènes et les plans, et Lynch l’a fait à sa manière avec sa matière... La première scène avec Audrey Horne dans la partie 12, c’était quelque part un peu du « Gertrud » (Dreyer) avec de l’humour à la Andy Kaufman. C’était énervant, mais c’était drôle.
Je n’ai pas compris la fin, honnêtement, en fait, je crois que je n’ai pas envie de la comprendre. Au premier degré, c’était un retour dans le temps ou un passage dans une autre dimension, mais ce serait trop simple et légèrement fainéant d’un point de vue scénario. Je préfère en retenir le caractère inachevé, décevant, informe... Et les longueurs...


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès