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En réponse à :


lisca lisca 17 septembre 2017 09:28

"Toute vérité n’est pas bonne à dire, peut être allez-vous me « sucrer » des articles ou me bannir, alors que grand bien vous fasse."
Ce serait vraiment dommage. Et un contributeur de qualité en moins.
Peut-on sauver Agoravox ?
Les articles en présentoir sont très souvent médiocres en effet, question originalité, ressassant la pensée unique, avec plus ou moins de talent, sur un ton parfois doctoral et maternant (faiblesse surtout féminine). A défaut d’informer, ils pourraient amuser. Eh bien non.
Agoravox DOIT être original pour subsister. Mais la médiocrité est militante, et acharnée. Elle se démultiplie, ne survit que sur et dans la masse. C’est pourquoi il serait erroné de convoquer les votes de la masse des lecteurs pour approuver un article. Comme disait Céline, les médiocres seront toujours plus nombreux que les talentueux. Ils recrutent très facilement.
Il y a aussi la maîtrise de la langue française. Parfois des auteurs ont vraiment quelque chose à dire, mais sont incapables de l’exprimer lisiblement. La logique en souffre, accessoirement, car ce qui se conçoit bien... etc.
Il faudrait donc trois conditions sine qua non pour être admis à publier : originalité du sujet et du style, forme correcte, pertinence et véracité (par sources sinon fiables au moins reconnues, comme la grande presse) de l’information présentée.
Sinon, Agoravox devient la voix de perroquet d’une populace télévisée. Mille perruches ne font jamais qu’un avis.
Qui déciderait ?
Non pas les auteurs prolifiques, mais une élite professionnelle et littéraire ou scientifique. Carlos Rivelli est le boss. Il pourrait s’appuyer sur l’avis de conseillers instruits, diplômés (pas les faux diplômes de sciences humaines ou Sciences Po, mais des doctorats, des agrégations) ou professionnels, non politisés (on sent que CR censure avant d’être lui-même censuré) ni commerçants.
Cette élite jugerait de la qualité des nouveaux articles et auteurs à introduire. Pour les bons articles mal orthographiés (la faute à l’EN), il y aurait une réécriture.
La société Agoravox redistribuerait une part de ses profits aux actionnaires-auteurs.
Agoravox a prospéré sur une contestation de la thèse officielle du 11/9. Il faut revenir aux sources.
Sous peine de mourir, comme tant d’autres médias.


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