@P.-A. Teslier
« Mais le bouddhisme, tout en recherchant la voie du milieu, reste figé dans les sphères supérieures, où il se perd en contemplation mystique. Parallèlement, il exige une vie ascétique, considérant que la souffrance, qui est le contenu de la vie humaine, résulte de la passion, et que le renoncement à soi-même est le seul moyen de s’affranchir de cette dernière. […] Même si Bouddha, par sa position semble bien encré dans le sol, il est tout entier en méditation. Aussi est il incapable de réaliser le royaume de Dieu sur terre. »
Marc Alain Ouakinin – Mystères de la kabbale.