L’évolution du journal Le Monde, journal progressiste de référence d’antan vers l’actuel canard défenseur des politiques
néolibérales et interventionnistes illustre parfaitement l’information
monocolore actuelle au point parfois de voir Le Figaro défendre des positions
plus à gauche que le journal du soir. D’un autre côté en Espagne vous avez El
Pais journal engagé de l’après franquisme
à ses débuts et qui croule sous la publicité maintenant tout en faisant siennes
les mêmes causes défendues par le Monde. Cela se note dans le traitement du brexit
et du« chavisme » au Vénézuela. Et même s’il y a une défection notable du lectorat,
les oligarques patrons de presse ont suffisamment de pouvoir sur les états en
place pour les obliger à maintenir en vie leurs quotidiens par des subventions.