« des problèmes qui n’ont pas été résolus en Russie depuis son arrivée au
pouvoir : la corruption, l’accès de l’opposition aux médias d’État »
Oui, enfin, en ce qui concerne la dénonciation de la corruption dans les médias, la censure est relative. On a pu entendre lors d’une émission de la télé « soviétique », (15e édition de la ligne directe annuelle avec les citoyens russes) l’intervention d’une personne expliquant que le plus grand mal de la Russie était la « corruption des fonctionnaires et des ministres », sans que cela fasse quelque remous dans la salle. Poutine lui a répondu tranquillement et aux dernières nouvelles, aucun accident mortel n’est arrivé à cet intervenant.