@L’enfoiré
J’entends par là, non par se calquer sur la nature sauvage, mais revenir aux notions de bon et de mauvais (« bon » pour soi, pour la société, pour la planète) avant de gloser à n’en plus finir sur un terrain moral. La moralité, c’est toute cette friche vaine et bavarde qui vient pousser sur cette dualité plus saine que celle du bien et du mal.