Non, Shawford. Labrune ne va pas se
sentir seul. Au contraire, il aura toujours sa pensée. Et quoi de plus fort qu’une
pensée positive qui se corrige, n’en déplaise aux autres. Une pensée qui se
corrige est une pensée victorieuse. Elle est ce par quoi, ce pourquoi l’être doit être, ce
qui n’est pas donné.