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Hamed 27 septembre 2017 10:34

@Jean Keim

Bonjour Jean,

Pardonnez-moi de n’être pas d’accord avec vous. Vous dîtes une contradiction « La pensée est illimitée, puis ensuite vous l’enfermez à l’intérieur de sa sphère, et là est tout le paradoxe.  Mais, Jean, il n’y a pas de paradoxe, il n’y a pas de sphère et de non-sphère. Nous oui en tant qu’existant par cette pensée, nous sommes dans notre coquille humaine, limité mais aussi illimitée par la pensée qui pense en nous. Jean, par elle, nous transcendons la « chose que nous sommes ».


Et vous le dîtes « Par des associations et des combinaisons « nouvelle », elle peut sans cesse imaginer er innover, mais elle reste dans ce qu’elle connaît ». Non jean, elle ne reste pas dans ce qu’elle connaît, elle va toujours sonder l’inconnaissable, toujours ouverte au renouveau, au progrès. A l’instar du musicien qui crée une musique nouvelle composée de notes connues. Mais bien sûr, l’univers est composé de notes connues sinon il ne pourrait être connaissable, mais ce connaissable évolue en sondant l’inconnaissable. Et, sans notes connues, sans cette pensée connue en nous, comment pourrait-on aller aux notes inconnues, aux pensées inconnues.


On ne tourne pas en « rond ». La pensée ne tourne pas en « rond », elle peut faire des boucles, mais elles sont en spirales pour s’élever toujours plus. Je ne parle pas d’un être, ou d’une multitude de pensées, mais je parle de tous ceux qui pensent, i.e. l’humanité entière. Le monde avance, le progrès du monde avance, comment ? Par la pensée de tous. Et nous ne sommes qu’une infime partie de cette pensée. En réalité de la Pensée.


Le monde des humains n’est jamais veux. Il est toujours neuf.


Voilà, Jean. Heureux de vous avoir lu


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