La banque aurait alors dû refuser de prêter.
Et ça, ça ne pardonne pas devant les tribunaux.
Information très intéressante à faire circuler à travers tout le pays !
Mais alors, en cas de décès de l’emprunteur insolvable,
quelle doit être l’action du notaire :
- vis à vis de la ’succession’ ?
- vis à vis de ce que les tribunaux ne doivent pas pardonner ?
- vis à vis d’escrocs qui ont pu susciter les emprunts initiaux ?