« Le récent attentat de Marseille n’a pas seulement réveillé un malaise latent. Il nous rappelle que les formes du terrorisme ont changé. »
L’on a maintenant affaire au « terrorisme du pauvre » : camion ou voiture lâchés dans une foule, emploi de couteaux, de machettes, de hachoirs. A quand les morsures de chiens enragés contre des civils innocents ?