@Jonas
Et la gestion catastrophique du IVème REICH, pardon, de l’Europe, n’y est pour rien ?
Le nationalisme se nourrit de la concurrence - soit disant « libre et non faussée », tu parles !! - que prônait le TCE de 2005.
Mais, je reconnais que pour les esprits simples, c’est toujours de la faute de« l’autre », que ce soit le conducteur, le voisin, l’étranger (à quoi, d’ailleurs, on se le demande ?), enfin, celui qui ne fait pas partie de son cercle. Où de joyeux connards vivent sans aucun problème...