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Alren Alren 26 octobre 2017 15:40

@Alcyon

D’habitude je ne réponds pas à la bave du crapaud.

Mais là, je ne peux laisser passer cette connerie que les équations de Lorentz corrigées à sa demande par Henri Poincaré font de l’éther une obligation !

L’existence ou non de l’éther est un problème d’interprétation de la réalité sans rapport avec des équations de pure mathématique.
Or il n’y a aucune interprétation de cette réalité dans la relativité restreinte, je le répète pour votre cervelle de bois prétentieuse.

C’est la relativité générale qui en fournit une avec cette aberration qui bloque toute réconciliation entre physique quantique et relativité, qui consiste à poser comme a priori que le vide absolu (comme celui de Newton) totalement indépendant du temps et de la matière puisse cependant être lié à eux par le concept d’espace-temps. Quel est le lien physique entre les trois, quelle particule ? Mystère ! La théorie ne le dit pas. C’est un simple postulat.

Ce que l’on sait avec certitude, en revanche, c’est que, contrairement à la conception d’Einstein, le vide absolu n’existe pas : du fait du principe d’incertitude, il contient un minimum d’énergie. Donc l’interprétation de la relativité générale est fausse à la base !

Par ailleurs la relativité générale est incapable d’expliquer l’accélération relativement récente de l’expansion de l’univers, non plus que la matière et l’énergie noires.

C’est pourquoi on utilise les équations de la relativité générale pour certains calculs en oubliant son interprétation des résultats. On parle ainsi parfois de « dégéométrisation » de la théorie d’Einstein.

On peut donner une interprétation du lien entre espace, temps et énergie en abandonnant l’autre postulat majeur de la relativité einsteinienne, à savoir la vitesse constante de la lumière dans le vide.

Or plus l’énergie du vide est importante plus les rayonnements électromagnétiques dont la lumière sont ralentis, jusqu’à avoir une vitesse nulle (ou quasi nulle) dans cette zone que l’on appelle maladroitement trou noir.
L’énergie du vide augmente en présence de matière et d’autant plus qu’elle est en mouvement (ce qui explique les résultats de l’expérience de Michelson et Morley) ainsi que dans un champ gravitationnel, au passage d’ondes gravitationnelles, dans un champ électromagnétique.
Cette variation de la vitesse de la lumière est très faible dans l’environnement du système solaire, suffisante cependant pour entraîner une rotation du périhélie de Mercure, planète très proche du soleil dont sa forte énergie globale, masse et rayonnement a un effet mesurable.

Mais comme cela dépasserait vos capacités intellectuelles et que je vous ai assez consacré de temps comme cela, nous en resterons là.


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