Merci, beaucoup. Le reportage d’Arte il y peu sur l’Homme était assez soft sur ces
périodes troubles de l’histoire (dans lesquelles il me semble que "la
demmerde" resta logiquement la conduite essentielle à tenir pour les gens du petit
Peuple avec une dédicace spéciale à notre célèbre gouailleuse) ...Ensuite, toute production littéraire citant « un singe en hiver » mérite des louanges. A titre très personnel, j’accolerai aux brillantes forfaitures avinées quelques saillies de Monsieur Marielle, afin de rappeler aux générations futures que l’alcool seul sans modération n’est qu’une étape dans la vie d’un esthète, que les senteurs aussi ont un prix dont le temps qui passe donne la juste mesure ...