On s’attendait à un refroidissement de la température moyenne et on avait un réchauffement.
On a missionné le GIEC pour y répondre.
Comme c’est scientifique, on peut s’attendre à du comment et non du pourquoi.
C’est des climatologues, des réponses pour les réserves halieutiques ou de plomberie ce n’est pas de leur ressort.
Les rejets de méthane massif c’est plus des chimistes et géologues qui peuvent répondre, un climatologue prendra en compte sa concentration.
Le GIEC est déjà décrié dans son corps de métier, n’allons pas leur rajouter des choses qui ne sont pas de leur corps de métier.
Encore en novembre est sortie une étude remettant en cause la stabilité des foramifères pour les paléo-climats, on aurait peut être tout compte fait en ce moment la température des mers la plus chaude. C’est bien loin du domaine de connaissance d’un climatologue les foramifères et pourtant ça impacte sérieusement ses modèles si la mer tout compte fait n’a pas été aussi chaude par le passé.
Pour l’instant c’est du questionnement, si la thèse est valide, ça renforcera l’hypothèse antropologique du réchauffement.
Difficile d’avoir des certitudes, ce n’est pas croire ou ne pas croire mais voir où est le plus vraisemblable.
Celui qui vient avec des certitudes c’est un croyant, sa place est dans une église ou un temple mais pas dans une discussion scientifique.
Le GIEC c’est un consensus sur ce qui est le plus vraisemblable, il n’y a pas de vérité mais des probabilités de vraissemblable.
Plus de 90% de consensus, ça me suffit pour trouver vraissemblable le vraissemblable.