Très jolies ces pensées jetées pêle-mêle, oxymores de l’immonde réalité dépeinte dans laquelle pataugent les rescapés en sursis de la lobotomisation insidieuse de masse en cours.
Mais, pardon de marcher sur vos plates-bandes, comment parler de science-fiction sans citer Mike Resnick ? Kirinyaga (je viens de vérifier l’orthographe :) , Ivoire, la trilogie enfer/paradis/purgatoire dans l’ordre que vous voulez ; des monuments de SF, non ?!
Et le cycle de fondation aussi, mais c’est vrai qu’on ne peut tout citer.