Putain qu’est-ce qu’on est content d’avoir un chef aussi studieux, qui a subi son formatage avec tant d’enthousiasme, qui n’a jamais déçu ses maîtres en n’ayant jamais l’idée d’une idée qui pût les déranger !
Quel zèle à plaire à ses supérieurs, sans pour autant perdre de vue que sa récompense était d’alourdir ses poches. Ça a un nom, ça, non ?