Que la France soit dans l’UE ou hors UE, les multinationales resteront « hors sol », et l’argent des multimilliardaires restera apatride. Aucun pays n’y pourra rien seul dans son coin, et il faudra au contraire une levée de bouclier des citoyens des différents pays pour que quelque chose se passe, retenue à la source sur le chiffre d’affaire des grands groupes et sur les revenus des plus fortunés, au pro rata de ce qu’ils gagnent dans le pays concerné.