@Robin des villes
Tout à fait.
6 ans de latin, un an de grec laissent quelques traces indélébiles sur la construction des mots et pas comme disent certains sur l’orthographe qui elle jouent à la difficulté fransquillonne du Parisien pour les alliances entre les mots...
Le seul bénéfice du grec, c’est de pouvoir le lire même si je ne le comprends pas
.
Les mots qui se terminent par « -isme » sont sujet à caution à dysfonction tout comme ceux qui commencent par « dis- »..
Tiens, cela me rappelle « Les mots de l’étrange »