@Jean-Pierre Llabrés
Je réponds à votre question et vous rassure ; je ne fais nullement partie des « sachants » et n’ai d’illeurs aucune prétention en la matière, ayant en effet la chance de disposer d’un large éventail de sujets d’intérêt.
J’ai en revanche une connaissance assez précise des mutations causées sur l’agriculture vivrière par les firmes et fonds qui procèdent au « land grabbing » dans des pays tels que l’Ethiopie (provinces du Gmbella et de l’Omo, par exemple), le Kenya (delta du Tana), mais aussi le Mozambique (Massingir, Chokwe, vallée du fleuve Limpopo).
Mas j’imagine que vous connaissez déjà ces questions.
Je me permets toutefois de vous suggérer d’aller voir ce qu’il en est réellement sur place.
Le constat visuel est toujours intéressant.
Bien à vous
Renaud Bouchard