sans vouloir jouer les troubles fêtes, les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki n’ont pas été le déclencheur de la reddition Japonaise, mais bien plus le fait que l’armée impériale était en déroute totale en Mandchourie, contre les troupes soviétiques. Les chiffres sont éloquent : sur le million d’hommes que le Japon y envoya, seul 90.000 en revinrent.
Suite à cette tannée absolument magistrale, l’île principale du Japon n’était plus qu’à 2 ou 3 semaines de se retrouver envahie par les troupes soviétiques, qui étaient déjà fort avancé dans l’archipel des îles Kouriles
Et c’est cela - et aussi l’assurance donnée par les Américains que l’Empereur ne serait pas inquiété - qui précipita réellement l’acte de reddition.
Hiroshima et Nagasaki dans ce contexte n’était que des « expériences scientifiques menées grandeur nature ». Le Japon avait déjà perdu lorsque ces bombes ont explosés.