« Si les passes de cape duraient trop longtemps, le toro finirait par « comprendre le latin » (selon l’expression consacrée) et se détournerait du leurre ne laissant aucune chance au torero. »
Dommage que vous ne laissiez pas au toro les mêmes chances que celles que défendez pour l’autre mammifère qu’est le torero !
Si vraiment le goût ou la vue du sang vous font tant plaisir allez donc faire un tour dans un service de traumatisés de la route ...