Bonjour, Soley
Vous oubliez de mentionner l’absence d’alimentation des personnes plongées dans cet état de sédation profonde. Or, c’est bien là qu’est le problème car cette non assistance à personne en danger de mort par manque d’administration volontaire de nutriments est bien une mort donnée, donc une euthanasie de fait qui, par la plus choquante des hypocrisies, refuse de dire son nom et soumet les proches au spectacle d’une mort lente administrée par dépérissement.
Zenzoé a écrit plus haut que l’on est « resté au milieu du gué » en matière législative, et c’est exactement cela.