"La leçon que l’on peut tirer de cette tragique histoire, quelle que soit
notre opinion sur la pornographie et la nature des relations sexuelles,
c’est que le cyberharcèlement existe et qu’il tue, qu’il tue surtout
les femmes comme le montre une récente étude.«
la seule leçon que j’en retire c’est la capacité illimitée de nuisance de ces militants hystériques qui ne représentent qu’eux même mais a qui la société par lâcheté donne un pouvoir qui dépasse l’entendement.
Car ces associations (et les agitateurs qui les composent), peuvent attaquer en justice n’importe qui et harceler n’importe qui sans craindre le moindre retour de bâton puisque de leur coté elles ne sont pas attaquables par le quidam et protégées en haut mieux pour de minables raisons électoralistes sous couvert de progressisme (celui qui fait les éloges d’un dégénéré comme Bergé entre autres).
»beaucoup d’entre eux pensaient défendre la communauté LGBT, ils lui ont finalement donné un coup terrible« . Ce qui choque donc notre journaliste, c’est que des »homophobes« aient »instrumentalisé« l’affaire et que les LGBT se retrouvent accusés du »meurtre" de l’actrice.
Journaliste irresponsable et complice du meurtre qui tente de noyer le caractère nocif de son idéologie avec l’accusation minable de fascisme, ce Deslogis est une caricature.
Hurler au fascisme pour ne jamais se remettre en question c’est malheureusement trop fréquent et surtout ça ne rime plus à rien.
Pour le reste on notera effectivement que sans la petite notoriété que le fait d’être une actrice porno donne, ce triste fait divers n’aurait jamais bénéficié de la moindre exposition médiatique.