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eric 25 décembre 2017 19:31

Il suffit de taper intersectionalisme sur le net.

On retrouve absolument toutes nos administrations.

En mal de marxisme, depuis que l’histoire à porté un jugement définitif sur le courant d’idée qui constituait leur identité, les gens qui les peuples se cherchent une nouvelle colonne vertébrale intellectuelle pour justifier leur prébendes, leur inaction leur parasitisme social.

Avant, quand les pauvres ne votaient pas, ils se présentaient comme l’avant garde du prolétariat. Cela expliquaient pourquoi ils avaient besoin de dépenser 57% de notre PIB, soit disant au services des pauvres, pour au final des inégalités qui ne diminuent plus, et une pauvreté qui s’incruste.

Avec 10 points de pib en plus et un ou deux millions d’agents publics ou para publics en plus (personne n’est capable des les compter), le résultat, dénoncé par l’ensemble de leurs organisations représentatives, est une baisse continue de la qualité des services publics.

Désormais, ils ont compris que les bac moins trois étaient des fachos et que les bac moins qu’eux d’une façon plus générale, votaient Le Pen.

Comme c’est l’Amérique de Reagan qui en a finit avec le socialisme, du coup, ils vont se chercher des modèles dans celle d’Obama-Clinton.

L’intersectionalisme est une daube très dangereuse qui laisse les marxisme léninisme et le national socialisme très loin derrière en matière d’irrationnel incontestable et fascisant.

Les machins du genre séminaires racistes (réservés au races...) ou sexistes ( réservé aux femmes...) ;, sont la partie de l’iceberg qu’ils ne parviennent plus à cacher complètement.

Ils sont tellement la dedans jusqu’au cou, que c’est devenu la vulgate inévitable de tous ces milieux.
Même pour les moins atteints, les plus lucides, les « encore vaguement pensant », ne pas défendre la folledinguo, pour Baubérot, c’est se désolidariser de son milieu social.

Et encore. Je dis Baubérot, je l’aime bien. je l’ai eu comme parent d’élève...c’est quand même un type qui à plus de 75 ans, pense encore que c’est important d’avoir eu un prix de concours général au Lycée, même si « il était injuste que les élèves parisiens aient eu des cours de préparation qu’il n’avait pas eu... »(voir son autobiographie ou il se plaint d’avoir, presque malgré lui, eu des décorations des honneurs, des postes et des crédits...) On devine le degré de maturité...

Ces braves gens se doutent vaguement que si ils exhibaient leurs nouvelles convictions intersectionalistes en public, le peuple risquerait de réagir.

Mais en interne, ils croient, ou font semblant de croire par solidarité de classe, à toutes ces imbécilités.

La raison ? Au fond, être progressiste, c’était une façon d’être un rastignac. Cela a « eu payé ». A partir des années 80. Depuis que les socialistes ont défiscalisé les stock options pour taxer le patrimoine immobilier des familles nombreuses sous MIterrand, depuis que la pression fiscale est devenue tellement insupportable qu’il devient difficile d’accroître le gâteau, leurs gosses préfèrent le privé. Au moins ceux qui sont bons en classe ; Regardez Macron. Fils de fonctionnaire progressiste mais élevé dans le privé, pour échapper au vivre ensemble et à la mixité sociale.

Les bons se sont barrés, Ne reste que les médiocres. Un peu pareil avec les profs parait il.

Au fond, je suppose que des Baubérots sont malgré tout effondrés du niveau intellectuel de leurs enfants les moins doués, réduit à rester dans le public, et susceptibles de se contenter d’une idéologie aussi absurde.

On pense à Camus, entre l’intelligence et leurs enfants, ils choisissent leurs enfants. C’est humain.
Nous ne sommes pas obligés d’avoir envie de payer.


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