• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


morose (---.---.198.56) 2 mars 2007 21:31

Bonjour, LE POINT ESSENTIEL dans cette affaire est la façon dont l’affaire est traitée, ET CETTE FAçON CONCERNE TOUS LES MÉDECINS ET LEURS PATIENTS :
- Il n’y a eu aucune plainte de patients à l’encontre du Dr Gardénal
- il n’y a eu aucune faute médicale concernant un traitement homéopathique qui aurait été utilisé À LA PLACE du traitement conventionnel officiel pour faire croire à une guérison possible du cancer.

IL S’AGIT DE 3 PATIENTES dont 2 refusaient les soins conventionnels (refus qui avait déjà été signifié aux centres « anti cancer » mais les médecins concernés n’ont pas été inquiétés), et une patiente qui après des soins données par les mêmes CAC a vu ses soins arrêtés pour fin de vie. Pour les deux premières, qui venaient consulter le Dr Gardénal POUR DES SOINS RHUMATOLOGIQUES SANS RAPPORT avec leur cancer, elles ont témoigné de leur refus, de son antériorité à leur consultation avec le Dr Gardénal qui tentait de les faire revenir sur leur décision. Pour la 3ème, qui est décédée quelques mois après, elle a demandé à ajouter des soins homéopathiques pour ses douleurs aux soins de fin de vie qui lui avaient été donnés.

C’est le médecin conseil de la SS qui a décidé de poursuivre le Dr Gardénal sur la notion de ces 3 patientes, examinées avant 2002, prétextant que le Dr Gardénal n’avait pas respecté la loi KOUCHNER de 2002. En l’occurrence, la loi stipule que le patient a le droit de choisir les soins qui lui conviennent. Un additif à la loi en 2005 dit que ce refus éventuel de soin conventionnel doit être « réitéré » et noté dans le dossier du patient (ce qui revient à le transmettre à la SS et au médecin conseil, donc interdit la confidentialité de la décision).

OR, CETTE LOI QUI EST OPPOSÉE AU DR GARDÉNAL EST POSTÉRIEURE AU DÉLIT DONT ELLE EST ACCUSÉE !

Car les patientes dont il est question ont été « traquées » en 2002, date à laquelle la précision n’est pas donnée dans la loi que la décision doit être NOTÉE DANS LE DOSSIER, ET RÉITÉRÉE.

Au delà d’un choix, ou d’une croyance que l’homéopathie « marche ou ne marche pas », qui est UN TOUT AUTRE DÉBAT QUE CELUI LANCÉ PAR CE JOURNALISTE, IL S’AGIT LÀ D’UN DÉBAT ESSENTIEL SUR NOTRE LIBERTÉ, SUR LE DÉNI DE JUSTICE ET D’INFORMATION. En l’occurrence :
- Pourquoi les médecins du centre rené Huguenin, qui n’ont pas pu convaincre les deux patientes de se traiter avec la chimiothérapie et l’intervention sur le cancer, n’ont ils pas été inquiétés ?
- Pourquoi la décison de ces patientes ne peut -elle pas être respectée ?
- Pourquoi leur déclaration que ce choix leur est propre, et pas « dûe » au Dr Gardénal, n’est pas entendue ?
- Pourquoi les sommités qui témoignent de la probité du Dr Gardénal n’ont-ils pas voie au chapître ?

RIEN NE PERMET DANS CETTE AFFAIRE DE DIRE QUE LE DR GARDÉNAL SE COMPORTE COMME UN CHARLATAN.

Y a t’il un traitement réservé aux médecins qui « sortent de la médecine d’école », et un qui protège ceux qui restent obéissants et dépendants du système médicopharmaceutique ? Il faut quand même se poser la question...


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès