Il semble que les malades se « choisissent » leur(s)
symptôme(s) parmi ceux disponibles, ainsi que l’intensité. J’ai entendu parler
d’atteinte « psychologique » après forte fièvre sans savoir de quoi
il s’agissait.
Je confirme qu’il est documenté
qu’à l’occasion de repassage de plat pour un autre sérotype la dengue serait alors
plus sévère. Ce qui se constate dans l’affection naturelle doit pouvoir se
vérifier avec le scénario vaccination suivi d’exposition ultérieure à la
maladie : une sorte de mordançage du terrain, qui, au contraire d’immunisation, aboutit à une hypersensibilisation.
Le monde à l’envers !
Ce génie infectieux si
particulier nous suggèrerait alors une remise en cause du grand principe de la vaccination
en général.
C’est peut -être pour ces trois raisons qu’on l’appelle
comme ça, la dengue.