« Il ne devrait y avoir cependant aucun licenciement sec. »
Ah bon ? Et c’est Airbus qui va payer les plans sociaux des sous-traitans, surtout pour les salariés en CDIC ?
« La vente très opportune de stock-options avec une plus-value de 2,5 millions d’euros, par lui-même et les cadres de son entourage, avant l’annonce de retards à la livraison de l’A 380 ont donné outre l’éventuelle qualification pénale pour délit d’initié, le sentiment que les rats quittaient le navire »
Faux : près de 500 personnes seraient concernées chez Airbus. Ca en fait des rats.
Forgeard a tout simplement pensé en bon technocrate gaulliste : les lois sont pour les autres ; pour les hauts fonctionnaires qui travaillent pour la plus grande gloire de la Patrie, il existe des accomodements.
La seule chose qui ferait du bien à Airbus, c’est que les politiques arrêtent de se mêler des affaires d’une société de droit privé qui n’est même pas française, ni allemande d’ailleurs.