• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


Elliot Elliot 13 janvier 2018 16:40

Il aura suffi des indignations programmées du père Klarsfeldt pour réveiller les réseaux qui n’existent pas mais qui démontrent une fois encore leur pouvoir sinon de nuisance du moins de marquer les limites de la bienséance.

Ce qui est plus anecdotique que réellement pernicieux prend quand ils se saisissent de cet os à ronger une apparence de grande cause nationale.

Ce fut à qui des faiseurs d’opinion à qui les médias sont grandement ouverts se crût obligé de nous faire partager son avis sur le scandale qu’il y avait pour un éditeur prestigieux à compléter ses éditions de Céline en publiant des pamphlets violents certes peut-être même injustes, insolents en tout cas dans le contexte aseptisé de notre époque mais riches de trouvailles syntaxiques et linguistiques comme c’est le plus souvent le cas dans l’œuvre du grand écrivain.

Plutôt que de s’interroger sur les raisons qui incitèrent tant de grands écrivains de l’époque, de Léon Daudet à Maurice Bardèche en passant par Lucien Rebatet ou Brasillach et j’en passe, à enfourcher les chemins de la défiance antisémite, ce qui donnerait un éclairage sur le climat de l’époque, les censeurs en poussant l’interdit au-delà des limites du raisonnable alimentent en fait toutes les préventions qui, ici et là, sous des formes policées courent sur un pouvoir tribal ou clanique qui arbitre les élégances.

Une réédition qui serait probablement passée inaperçue a déclenché un climat comme seuls les sionistes sont capables de le créer quand ils ont décidé que l’honneur de leur clan était engagé ou qu’il était simplement opportun d’en remettre une couche sur la victimisation dont ces maîtres sont les grands chefs d’orchestre.

On a eu beau leur dire qu’ils combattaient les moulins à vent d’une résurgence possible de l’antisémitisme, il faut vraiment ne jamais avoir lu « Bagatelles pour un massacre » pour ne pas être effaré par l’exagération et la puissance destructrice de ces lignes qui sautent pourtant aux yeux de tout le monde d’un peu sensé et qui perdent dès lors tout pouvoir d’attraction sinon au seul point de vue littéraire.

A cet égard « La France juive » de Drumont offre derrière une apparence de recherche historique solide beaucoup plus de correspondances avec la réalité – du moins celle vécue par un peuple soumis au joug d’Israël - , aussi bien n’est-ce pas demain la veille que l’idée germera chez un éditeur connu de les rééditer car, dans une montagne d’approximations et de propos haineux, des vérités se font jour qui ne sont pas toutes bonnes à dire et surtout à lire…


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès