Un communiqué du mouvement anti-aéroport met en avant plusieurs points dont celui-ci :
« refus de toute expulsion de celles et ceux qui sont venus habiter ces dernières années dans le bocage pour le défendre et qui souhaitent continuer à y vivre ainsi qu’à en prendre en soin. »
Et précise :
« nous aurons besoin d’une période de gel de la redistribution institutionnelle des terres. Dans le futur, ce territoire doit pouvoir rester un espace d’expérimentation sociale, environnementale et agricole. »
Il sera en effet intéressant d’observer l’évolution de la confrontation.
La redistribution de terres n’a jamais été une pratique spontanée de la part des différents gouvernement français depuis toujours, sauf quand il s’agissait de distribuer aux colons les terres de territoires d’outremer. Mais cette « distribution » ne fonctionne que dans uns sens.