• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


njama njama 22 janvier 2018 11:27

suite
En France, suivant nos bonnes habitudes, ce vaccin est systématiquement innocenté. On se souvient de l’émoi provoqué, en 1986, par le décès le même jour de cinq bébés, peu après la première injection de Tétracoq®. Les lots avaient été incriminés et ensuite retirés du marché, mais le vaccin était sorti blanchi.

Il est indéniable que l’acte vaccinal représente un facteur primordial de déclenchement de l’arrêt respiratoire. À ce sujet, le Pr R. Bastin écrivait dans Le Concours médical du Ier février 1986 : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. » En réponse à la demande d’un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osa cependant écrire : « [...] je crois qu’il faut cesser d’incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C’est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. » Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l’état d’esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès