@diogène
"les « boursicoteurs » jouent à la hausse ou à la baisse sans se
préoccuper de la santé de l’entreprise dont ils achètent ou vendent les
actions,«
En réalité, les spéculateurs attendent la publication des comptes de la société pour vendre ou acheter.
S’il arrive qu’ils achètent quand ces comptes sont mauvais, c’est à bas prix parce qu’ils sont persuadés que l’entreprise va retrouver les bénéfices ne seraient-ce qu’en licenciant :
c’est le cas actuellement pour le groupe »Carrefour« .
Mais seuls seuls ceux qui bénéficient du délit d’initié sont gagnants à tous les coups car ils connaissent les bilans avant publication, gagnants sur le petit boursicoteur qui pêche ses informations dans des journaux boursiers : pour gagner il faut agir à l’opposé de la »masse« . »Acheter au son du canon, vendre au son des violons (pour les prises de bénéfices)«
»comme on jouerait au tiercé« : les joueurs de tiercé essaient de trouver le trio gagnant en »analysant" les performances des chevaux. la plupart ne jouent pas au hasard.