Bonjour, philippe baron-abrioux
Pour ce qui est du cas évoqué, on est là sur une appréciation erronée de la dangerosité d’un justiciable. C’est malheureusement difficilement soluble dans le cadre d’une évaluation humaine, les juges qui ont eu affaire à la personne en question (tribunal correctionnel puis JAP) s’étant appuyés sans doute sur une expertise psychiatrique.
D’accord avec vous sur les « bouillons de culture » , indignes de notre pays.
Pour le reste, votre commentaire rejoint les éléments négatifs sur les effets de l’incarcération que j’ai énoncés dans l’article.