Merci @ l’auteur pour le partage.
Excellente initiative d’avoir proposé cet article du non moins excellent « saker », dont j’apprécie particulièrement la parabole, car cela en est une, du singe et de sa grenade :
(. . .) « et tous comprennent qu’ils affrontent un « singe avec une grenade à main » (cela s’applique totalement aux dirigeants israéliens et américains), qui combine une personnalité mauvaise, un tempérament emporté, un cerveau primitif et une grenade à main assez grande pour tuer tout le monde dans la pièce. Leur tâche est d’immobiliser le singe sans qu’il tire sur la goupille. » (. . .)
Néanmoins, remplacer le terme « singe » par psychopathe me convient également.
(. . .) « la propension des Israéliens (et des Américains !) à recourir à la force comme substitut à la diplomatie est un signe de faiblesse et non de force. » (. . .)
Tour à fait exact, le fort conscient de sa force s’impose des règles, le criminel, comme le faible, n’en a aucune, pour eux la fin justifie tous les moyens, d’autant qu’ils considèrent toute contrariété et/ou opposition à leur égard comme une injustice.