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Philippe VERGNES 12 février 2018 21:29

@ JL,


« Racamier n’a jamais donné de définition du concept de déliaison qu’il a utilisé ; vous affabulez. »

Heu... non, relisez moi : je n’ai jamais dis que Racamier avait donné une définition du concept de déliaison. Quoi qu’il en soit et comme toujours : il y a un divorce total entre ce qui est écrit et ce que vous croyez en comprendre. Par contre, cet auteur a bien écrit que la pensée perverse était toute en déliaison et en disjonction. Citation : « Alors que la pensée est toute faite de liaisons, la pensée perverse n’opère que dans la disjonction et dans la déliaison. Tel est bien le piège : les »instruments« (contact et pensées) utilisés d’ordinaire pour le lien sont, par le pervers, employés pour la déliaison. » (Racamier, Le génie des origines, p. 297)

L’extrait est très clair, dans le contexte de cette phrase : liaison = lien Vs déliaison = disjonction = délier les liens entre les objets, les idées, les personnes, etc. Dans ce sens là, qui correspond à celui que Racamier utilise dans son texte pour définir son concept de pensée perverse, la déliaison systématique est votre exercice favori sur ce site dès lors que l’un de vos contradicteurs se permet de dévoiler vos impostures.

Et pour paraphraser Humpty Dumpty que vous affectionnez, celui qui commande dans la théorie de Racamier... ben, c’est Racamier et ce n’est surtout pas vous qui lui faite dire n’importe quoi en affichant des compétences que vous n’avez jamais eu sur une oeuvre que vous n’avez jamais lu. Il ne me viendrait même pas à l’esprit l’idée de défendre une position contre son auteur sur un sujet qu’il développe et que je n’ai pas lu ou étudié a minima : seul un fou qui se prend pour dieu peut avoir ce genre de prétention... et c’est ce que vous faites en permanence en venant me chercher des noises partout où j’interviens sur ce site. Ce qui, soit dit en passant, signe votre harcèlement pervers.

Les mots ont un sens uniquement dans le contexte de leur énonciation. Prétendre autre chose comme vous l’insinuez en apposant vos propres définitions sur des termes où elles n’ont rien à y faire relève de la démence. Ne pas intégrer qu’un mot peut avoir des sens différents en fonction du contexte, c’est l’une des caractéristiques de la perversité. Dès lors, sortir des mots ou des expressions, des phrases ou des propos de leur contexte pour leur appliquer vos propres représentations, comme vous le faites systématiquement, revient à les pervertir. En foi de quoi, vous pouvez ensuite prétendre que c’est votre interlocuteur qui utilise les mots qu’il emploie mal à propos alors que lui reste dans la justesse du raisonnement en respectant le principe inaliénable de l’analyse textuelle de ne jamais séparer la forme du fond. Cette attitude est celle qui trahit vos délires d’interprétation et qui signe votre inversion (perversion). Délire d’autant plus marqué qu’il y a toujours un divorce total entre ce qui est écrit et ce que vous croyez en comprendre : vous m’attribuez une somme monumentale de propos que je n’ai jamais tenu. Attribution qui vous sert ensuite à justifier les accusations que vous portez à mon encontre, alors que du début à la fin, tout vient de votre esprit détraqué : « Rien n’est plus pervers que de vouloir démontrer que ce qui est pervers ne l’est pas. » Et la réciproque est vrai également : « Rien n’est plus pervers que de vouloir démontrer que ce qui n’est pas pervers l’est. »

Faites de beaux rêves... il est l’heure de mettre les enfants aux dodos !

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