Que pourrait on conclure ?
Que le cœur a ses raisons que la raison ne connait pas ?
Les psychoses de l’esprit sont parfois bien plus profondes qu’on le pense.
Elles s’immiscent dans des comportements de séduction et de désapprobation de tout ce qui n’est pas « soi ».
Un petit billet « Psychose » qui ne peut remonter pas dans les temps de Sigmund, puisque Internet n’existait pas.