Comme disait Mr de Talleyrand ‘’ tout ce qui est excessif est insignifiant’’. Caroline de Haas est donc insignifiante. Sauf que, elle et ses semblables, en envahissant les médias avec leurs théories victimaires, pourrissent ce qui restait de sain dans les rapports hommes/femmes.
En cela, elle se coule dans le discours dominant qui veut qu’on ne puisse être légitime que comme victime (réelle ou fantasmée). Bref, courageusement dans le sens du vent, en attendant que le vent tourne…