A défaut d’empêcher la violation du droit international, ce qu’elle ne peut faire compte tenu qu’elle n’en a ni les prérogatives ni les moyens, l’ONU avait par contre le droit et le devoir, par la bouche de son représentant Staffan de Mistura, de dire clairement et fermement le droit international, a savoir qu’à l’inverse des russes, libanais et autres iraniens, les U$A et leurs caniches, dont la France, n’ont rien à faire en Syrie !
Ce que se garde de faire ce vendu à la solde de $ion, ce qui est très grave non seulement pour l’avenir cette organisation, mais aussi pour la paix dans le monde, car ce n’est ni plus ni moins que la consécration du seul droit du plus fort et la caducité de la charte des nations unies. . .