@ arthes,
Dans cette problématique, tout est une question de degré (fréquence, intensité, durée)... qui diffère d’un individu à l’autre et d’une situation à l’autre, ce qui rend toute généralisation caduque. La seule chose que l’on puisse faire, c’est de « démonter » (dévoiler ou dénoncer) les mécanismes qui mènent au meurtre de l’âme : les techniques de lavage de cerveau ou de décervelage et dont la plus dangereuse est la communication paradoxale (déviante, perverse ou harcelante selon les auteurs et les descriptions) induisant un clivage (ou dissociation) de la psyché en deux ou plusieurs parties qui s’ignorent les uns les autres. C’est le plus dur à comprendre... même pour les professionnels qui sont pourtant sensés connaître ce genre de phénomène.
Pour les personnes véritablement clivées (psychotique ou pervers), le passage chez le psy est délicat. Nous verrons pourquoi lors de mon prochain article.